Un américain à Paris

Sebastian Marx est américain. Et encore mieux qu’Américain, il est New-Yorkais. Autant vous dire que quand on apprend qu’il a décidé de s’installer à Paris depuis déjà 9 ans, on se demande s’il a bien toute sa tête. Bah oui quoi, Paris c’est une super ville mais New York quoi, NEW-YORK  ! NEW YORK ! Vous voyez de quoi je parle…

Enfin bon bref, Sebastian Marx a décidé de s’installer à Paris et très vite dès qu’on le voit sur scène, on se dit que finalement il a toute sa tête ce garçon. Et surtout qu’il est très drôle et que ce serait dommage qu’il arrête de nous faire rire, nous les français, pour retourner à Broadway. Et puis bon sérieusement, Broadway, c’est plus ce que c’était…

Sebastian Marx, donc, joue plusieurs fois par semaine en anglais ou en français son one-man-show  » A new-Yorker in Paris ».  De son arrivée à Paris, et ses premiers cours de français, à sa rencontre avec sa copine et avec Stéphane Bern, mais pas au même moment, il nous raconte sa vie d’expat dans ce pays merveilleux où on a 5 semaines de congés payés et où on rape des carottes. Avec un humour assez pince sans rire, il se moque pendant un peu plus d’une heure de nos petits travers made in France, de notre goût pour le foie gras et les studios de 13 m2… Franchement c’est pas mal, ouai, pas mal…

Et c’est tout ce que vous saurez parce que je ne compte pas vous raconter tous son spectacle, il risquerait de m’en vouloir si je révélais ses meilleures blagues. Si vous voulez les découvrir donc, plusieurs solutions s’offrent à vous. En ce moment, il joue son spectacle uniquement en anglais  le Vendredi au So Gymnase. Il se produit aussi dans plusieurs scènes ouvertes en anglais, la Melting Pot comedy night, la French Fried Comedy Night et la New York… Comedy Night (bravo à ceux qui suivent).

En attendant de pouvoir revoir son spectacle en Français, au Paname ou ailleurs, vous pouvez aussi l’écouter chaque semaine au côté de Stephane Bern dans A la Bonne Heure sur RTL. Le concept de sa chronique est simple : il ne connait jamais l’invité.

Bon bah voilà quoi.